11.4.09

Big glasses help to see the truth

Non mais, comme si j'allais m'excuser, à chaque fois que je mets à jour ce truc, c'est-à-dire tous les trente-six du mois, de pas avoir donné de nouvelles ni rien, ça devient lassant.
Je veux dire, bon. J'ai passé d'énormément bons moments ces derniers temps et j'en profite. Tous ces sourires, tous ces flashes, les gestes, autant de prises par le cou que de prises de bec, et puis les paroles. Je savoure en essayant de pas penser à la fin. C'est peut-être la première année aussi chargée en émotions, expériences en tout genre, la plus lumineuse, quoique parsemée de taches bien plus sombres que les autres années, justement. La plus éclatante, vraiment.
Je suppose qu'arriver dans un endroit où à la base, on ne connaît personne a un peu facilité la chose; recommencer à zéro, être et devenir quelqu'un, bref. Rencontrer de nouveaux gens, aussi, en se disant qu'on a eu de la chance de tomber sur eux.
Tout ce que j'espère en ce moment c'est que l'année prochaine sera rebelotte, mais. Qui vivra verra.
Autrement, heu. J'aimerais bien faire un peu plus de portraits de gens, et pas juste du zoom à fond à la sauvette. C'est joli parfois, c'est naturel, ça fait un joli fond flouté, mais pour le cadrage et les poses on peut revoir.
Faudrait que je me remette au dessin aussi. C'est peut-être un peu lié au fait que depuis Septembre dernier je vis à cent à l'heure, mais je n'ai pratiquement rien dessiné jusque maintenant. Enfin bon. J'avais l'impression d'être plus productive quand j'étais, disons, pas heureuse. Je me demande si ça joue quand même un peu, ou pas.
Et puis voilà. J'ai toujours ces souvenirs-étoile dans la tête, jeudi, vendredi d'avant les vacances, puis les cinq jours qui ont suivi. Cinq jours passés dans des endroits où rien ne me prédisposait à aller avant janvier. Vous savez, parfois vous êtes quelquepart, vous êtes bien et tout à coup vous vous dites "mais comment c'est possible, comment j'ai atterri ici?". Et de refaire tout le chemin qui vous a amené en ce lieu. Souvenirs et instants d'amoureuse. (oui, j'arrête pas de répéter que ce mot est moche, mais si on me trouve un autre mot qui qualifie le même état d'esprit, ben.. heu.. Chapeau.)

Enfin, le mieux, comme je disais, c'est les regards et les sourires. C'est ça qui fait les meilleurs souvenirs. Les meilleures sensations sur le coup.

C'est ça qui fait que je suis heureuse.

(oui, je parais sûrement cruche, mais tant pis, hein)
(et même pour continuer dans la lancée, Charmychoute je te déteste, à chaque fois que je passe devant la boutique que tu m'as montrée je bave, je vais craquer >3<)

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